La boutique Djewog s’efforce de proposer des produits durables, alternative aux objets jetables. Peu ou non issues de la pétrochimie, ces produits sont majoritairement issus d’Asie (Japon, Chine, Thaïlande, Indonésie). En effet, c’est là que les matières premières y sont cultivées et transformées, tel le bambou ou encore le konjac ; l’Europe n’étant pas productrice de ces plantes.
Le bambou étant une graminée ligneuse qui peut fixer 30 % de plus de CO2 que les arbres feuillus, il libère 30 % d’oxygène de plus que des arbres. Il limite l’érosion des sols (grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur) et restaure des sols appauvris.
On l’utilise pour l’élimination de certaines toxines du sol (phyto-remédiation), et sa culture ne nécessite peu ou pas d’engrais, ni de produits phytosanitaires. Dans le cadre d’une utilisation du bambou dans la construction comme matériel écologiquement performant, l’empreinte écologique du bambou est la moins importante.
À ce jour, le bambou semble ainsi être une (la ?) solution idéale, écologique, renouvelable, pérenne, avec un très faible impact sur l’environnement. Il implique une faible énergie grise dans sa conception, sa mise en œuvre et sa fabrication. Il est aussi plus résistant, solide, souple et léger que l’acier et le bois. Le bambou renouvelle ses chaumes (utilisables en construction) en moins de cinq ans, contre quelques décennies (voire siècles…) pour les bois de feuillus.
Cette « super plante » se cultive sans apports d’intrants, pesticides ni fongicides, contrairement à certaines forêts « industrielles » de résineux servant à alimenter la filière bois pour la construction. (source Wikipédia)
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